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Relâchement cutané : comment éviter la peau qui pend au niveau du ventre, de l'arrière des bras et des cuisses

Si tu perds beaucoup de poids, tu vas avoir un relâchement cutané et devoir subir une opération de chirurgie esthétique pour retendre la peau. C'est faux. Voici comment faire les choses différemment.

On t'a laissé croire qu’il est impossible de perdre beaucoup de poids, sans avoir un relâchement cutané ?

Si tu fais une perte de poids extrême, tu vas obligatoirement devoir passer par la case chirurgie pour retirer la peau qui pend ?

Pas de panique.

Je suis là pour te prouver qu'on peut faire les choses différemment.

À travers cet article, j’ai envie de te parler de deux Championnes que j'ai transformées.

Élodie qui a perdu 30 kilos, et Audrey 60 kilos.

Elodie et Audrey ont évité le relâchement cutané grâce au programme personnalisé que j'ai mis en place pour chacune d'elle
Élodie et Audrey sont fières du chemin qu'elles ont parcouru. Les résultats qu'elles ont obtenus sont bluffants.

Elles étaient toutes les deux inquiètes concernant le relâchement cutané et l’effet tablier qu’on voit souvent chez les personnes obèses et qui ont perdu beaucoup de poids rapidement.

Avant de me rencontrer, elles avaient envisagé la chirurgie bariatrique.

Mais elles étaient conscientes qu'en subissant une sleeve ou un bypass, elles auraient eu de la peau qui pend.

Audrey m’a confié ceci :

“A partir de mes 30 ans, j’ai commencé un travail sur moi-même.

Je voulais savoir pourquoi j’en étais arrivée là ?

Après 1 an et demi de suivi avec ma psy, elle m’a dit que si je voulais, elle m’appuierait pour une chirurgie bariatrique.

Elle m’a donné toutes les coordonnées pour prendre rendez-vous.

Sauf que c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas.”

Pour ce qui est d’Élodie :

J’ai eu le déclic fin 2020.

J’avais déjà été suivie pour une opération, la sleeve, mais comme j’avais perdu du poids pendant ce suivi, je ne rentrais plus dans les normes pour l’opération.

De toute manière, je n'étais pas prête à accepter la chirurgie bariatrique.

Elles ne voulaient pas se résoudre à la fatalité de l’opération.

Elles savaient qu’après ça, elles allaient avoir un relâchement cutané.

Et très certainement l'effet “tablier”, avec la peau du ventre qui pend.

Elles auraient continué à subir leurs corps, mais juste avec des kilos en moins.

Elles auraient continué à fuir les miroirs pour ne pas voir ce corps qui ne les représente pas.

Si elles avaient fait cette chirurgie bariatrique, elles auraient dû à nouveau se faire opérer pour enlever l’excès de peau.

Là aussi, avec tous les inconvénients que ça implique :

  • Douleurs malgré les médicaments ;
  • Arrêt de travail de plusieurs semaines ;
  • Être dépendante pour tout faire, y compris se lever de son lit, prendre une douche, aller aux toilettes ;
  • Se sentir constamment faibles ;
  • Garder des cicatrices toute leur vie, histoire de leur rappeler ces moments douloureux physiquement et mentalement.

Sauf qu'on a fait les choses différemment.

Et ça a payé !

Ci-dessous le témoignage d'Audrey qui est clairement métamorphosée depuis sa transformation physique.

Le témoignage d'Audrey qui a fait une perte de poids extrême sans relâchement cutané

Comment est-ce qu'elle a fait ?

Je t'explique tout dans un instant, mais avant il faut que tu comprennes ce qu'est vraiment le relâchement cutané.

Qu’est ce que le relâchement cutané :

Après une forte perte de poids, il y a un risque que ta peau se détende et qu’elle pende.

C’est dû au fait que la masse grasse que ton corps a stocké pousse la peau à s’étirer.

Désormais la graisse n’est plus là, mais le surplus de peau, lui, est bien là.

Le changement a été trop brutal pour ta peau, qui n’a pas pu se raffermir.

Ça, c’est le scénario catastrophe qu’on cherche à éviter à tout prix.

Si tu prends le temps de maitriser la vitesse de ta perte de poids, ta peau va avoir le temps dont elle a besoin pour se tonifier progressivement.

Il n’y aura donc aucun risque de relâchement cutané.

Qu’est ce qui cause le relâchement cutané ?

Si on se concentre sur ce qui se passe dans ton corps quand tu perds du poids, on s'aperçoit que la graisse fond.

Ta peau, qui a dû progressivement s'étirer au fil des années, doit maintenant s'adapter à ta perte de masse grasse.

Elle peut le faire, sauf que, si le changement est trop rapide, elle n'a pas le temps de le faire.

Tu t'en doutes, c'est là que le relâchement cutané arrive.

Pour éviter d'avoir la peau qui pend, tu as besoin de contrôler ta vitesse de perte de poids.

Ce que je préconise à toutes les Championnes qui me font confiance, c'est de ne jamais perdre plus de 1.5% de leurs poids de corps par semaine.

Au-delà, le risque de relâchement cutané est trop important.

Si tu veux creuser cet aspect de la transformation physique, je t'invite à lire mon article sur le déficit calorique pour femmes et tu comprendras que la chirurgie n'est pas le seul moyen de combattre le relâchement cutané.

La chirurgie bariatrique est une fausse bonne idée

Tu as déjà été tentée par la chirurgie bariatrique ?

Tu t’es renseignée sur le bypass, la sleeve ou l’anneau gastrique ?

Si oui, tu sais qu’avec ces pratiques, tu vas avoir un perte de poids trop rapide et tu vas obligatoirement subir un relâchement cutané.

Il faut que tu comprennes que tout ça est une réaction en chaîne :

  • La chirurgie bariatrique entraîne une perte de poids (perte de graisse, mais aussi fonte musculaire) rapide ;
  • La peau pend au niveau de ton ventre, de tes cuisses et de tes bras ;
  • Tu vas être gênée dans tes mouvements au quotidien ;
  • Ça va casser le moral de Championne que tu es en train d’acquérir ;
  • Tu vas vivre toute cette expérience comme un échec supplémentaire vis-à-vis de toi-même ;
  • Et tu finiras par te venger avec de la nourriture.

Pour en revenir à la chirurgie bariatrique, un autre effet auquel on ne pense pas tout de suite : elle ne t’apprend pas à manger.

Une fois la chirurgie faite, beaucoup de personnes pensent qu’elles peuvent remanger comme avant, sauf que c’est se voiler la face.

Notre corps est le reflet de la majorité de nos choix et de nos comportements en matière d'alimentation et d'entraînement.

C'est pour cette raison qu'il faut apprendre à se nourrir sainement, sans oublier la notion de plaisir, pour être capable de tenir dans la durée.

On parle avant tout d'adopter un mode de vie.

Audrey l’a bien compris :

“Si j’avais fait cette chirurgie, je n’aurais pas appris à manger !”

Aujourd’hui, Audrey et Élodie connaissent la valeur des aliments qu’elles mangent, et même si elles n’estiment pas être de grandes cuisinières, elles mangent à leur faim, tout en s’autorisant des petits plaisirs quotidiens.

Je sais que la notion de plaisir est importante pour toutes les Championnes.

C’est pour ça qu’avec ma chérie Maëlle, on concocte régulièrement de nouvelles recettes gourmandes, faibles en calories.

Une alimentation trop stricte peut favoriser les compulsions et le relâchement cutané à l’âge adulte :

Quand tu penses à la relation que tu as avec la nourriture, est-ce que dans ton enfance et adolescence tu as des événements qui t’ont marquée ?

Je t’explique où je veux en venir : pour Audrey, comme pour Élodie, elles ont eu un rapport troublé à la nourriture.

Audrey est consciente que pour elle, ça s’est joué avant sa naissance :

“J'ai une relation avec la nourriture un peu particulière.

Ma maman est tombée dans l'anorexie étant plus jeune.

Quand elle était enceinte de moi, elle était anorexique.

Quand j'étais dans son ventre, son objectif était de ne pas prendre de poids.

Donc mon esprit a intégré le fait que je devais avoir une silhouette parfaite.”

Pour Élodie, c’est venu plus tard dans l’enfance :

“Ma mère a toujours été très stricte sur l’alimentation.

Il fallait manger équilibré.

Pas de sucre, pas de gâteau.”

Et forcément, comme elles étaient sous surveillance, une fois qu’elles étaient loin du regard maternel, c’est là que les mauvaises habitudes sont arrivées.

Pour Audrey ça s’est traduit ainsi :

“Qu'est ce que j'ai fait à un moment donné dans ma vie où j'ai pu reprendre le contrôle de moi-même et de mon alimentation ?

Faire ce que j'avais envie, et mon corps a explosé, tout simplement.

Ce rapport à l'alimentation n'a jamais été très sain.”

Élodie a une expérience à la fois différente, mais similaire :

“Avec mon petit frère, quand on sortait de l’école, on allait au bureau de tabac et avec notre agent de poche on s’achetait des Kinder et on mangeait ça avec un réel plaisir !

Quand on rentrait, comme mes parents travaillaient très tard le soir, c’était moi qui faisait à manger.

J’avais 14 ans et je faisais ce que je pouvais.

C’était souvent des pâtes.

Il y avait quasiment pas de légumes.”

Je vais te demander de faire un petit exercice de visualisation.

Fais le point, de manière honnête avec toi-même sur ton vécu.

Est-ce qu’il y a eu des événements de ce type-là quand tu étais plus jeune ?

Si oui, tu es au bon endroit pour amorcer le changement que tu souhaites.

Au final, on sous-estime trop souvent l’impact de la transmission des parents, y compris dans notre relation à la nourriture.

Et pourtant, en matière de conditionnement alimentaire et d’enfance, on a tous un ou plusieurs de ces souvenirs :

  • Interdiction de sortir de table avant d’avoir fini son assiette, ce qui empêche d'apprendre à manger à satiété ;
  • Aliments imposés dans l’assiette et qui nous rendaient malade ;
  • Les troubles du comportement alimentaire de nos proches, étalés en plein repas, et à la vue de tous.

Une fois arrivée à l’âge adulte, tes compulsions sont allées crescendo.

Tu fais des régimes yo-yo depuis des décennies et tu as de la peau qui pend et tu en subis les effets sur ton corps au quotidien.

Ci-dessous tu trouveras une vidéo issue de ma formation sur le sujet de l'effet yo-yo.

Quels sont les risques liés au relâchement cutané ?

Les risques psychologiques :

En bonne Championne que tu es, tu as bossé dur pour perdre tout ce poids qui te gâche la vie depuis trop longtemps.

Tu es fière de toi, de tes progrès, mais malheureusement ta peau s’est détendue.

Tu n’oses pas te mettre en maillot deux pièces, et les rares fois où tu dois mettre un maillot de bain, c’est pour t’enrouler dans ta serviette dès qu’il y a des gens autour.

Tu sais, ces grandes serviettes qui te servent de barrières grâce auxquelles tu peux masquer ces plis disgracieux.

Tu perds cette confiance en toi durement acquise.

Le pire dans tout ça, c’est tout ce qui touche à l’intime.

Te mettre nue devant quelqu’un est impensable.

Même si Audrey a évité le relâchement cutané, quand elle faisait 134 kilos, elle était dans le même schéma de pensées :

“Aujourd’hui, je peux vous en parler, parce que quand on est dedans on ne s'en rend pas compte.

Je pensais comme ça : je ne m’accepte pas, je ne m’aime pas, je ne suis pas belle, donc je ne vois pas pourquoi on pourrait m’aimer et me trouver jolie.”

Un autre risque psychologique, c’est de ne pas réaliser ce que tu as accompli.

Je te laisse lire le témoignage d’Élodie à ce sujet :

Le témoignage d'Élodie qui a en partie réussi à rattraper son relâchement cutané

Grâce au fait de te prendre en photos à intervalles réguliers, tu as des archives pour mesurer visuellement ta progression.  

C’est hyper important que tu puisses constater les changements de ton corps : ça va te rebooster et te faire prendre confiance en toi.

Mon rôle de coach, en plus de t’aider à combattre le relâchement cutané, c’est aussi de faire en sorte que tu apprécies ton corps, que tu sois fière de toi, de ton parcours et qu’au final, tu t’aimes.

Les risques physiologiques :

En plus de l’aspect psychologique qu’on a vu au-dessus, il y a aussi des aspects physiologiques dont il faut que tu sois consciente si tu subis un relâchement cutané.

Tout d’abord, ça va impacter négativement ta mobilité, en grande majorité à cause de l’effet “tablier” avec la peau de ton ventre qui va pendre.

Ensuite, tu vas transpirer abondamment au niveau de ton surplus de peau.

Ça va être inconfortable, ça va te gratter de manière compulsive.

Pour finir, entre les plis de ta peau qui a perdu de son élasticité, à cause de l’humidité et des bactéries, tu risques de développer des infections de la peau, qui vont favoriser encore plus l’inconfort et l’envie de gratter.

Je sais que je me répète, mais une fois de plus, si tu me fais confiance, grâce à ma méthodologie, tu éviteras le relâchement cutané.

Comment combattre le relâchement cutané : Le parcours complet que j’ai mis en place pour Audrey

Audrey a réussi à éviter le relâchement cutané malgré une perte de poids extrême de 60 kilos en 2 ans
Je sais ce que tu te dis, tu penses que c'est du fake ? Je t'invite à aller voir l'interview d'Audrey qui a fait une perte de poids extrême sans sleeve sur ma chaîne YouTube.

Une fois que j’avais toutes les données en main concernant Audrey, j’ai mis en place un plan d’action détaillé, progressif et sur mesure.

Grâce à son passé de gymnaste, c’était déjà une Championne.

Il fallait qu’elle redevienne la Championne qu’elle était.

C’était très important pour moi de lui montrer des petites victoires, pour ne pas qu’elle se décourage et qu’elle reprenne goût au sport.

Il ne fallait surtout pas qu’elle se dise “J’y arrive pas, donc je n’y arriverai jamais !” et qu’elle bascule dans l'impuissance apprise.

C’est pour ça que la méthode des petits pas est idéale.

Il fallait qu’elle ait des petites victoires régulières.

On est parti sur des petits exercices faciles et accessibles.

Puis elle y a pris goût et progressivement on a augmenté la difficulté.

Je me suis aperçu qu’elle aimait le challenge. Forcément, puisqu’elle a été sportive de haut niveau en gymnastique.

Il fallait que ce soit motivant, mais accessible.

En plus de maîtriser la rapidité de sa perte de graisse, et d’éviter le relâchement cutané, on a construit, doucement mais sûrement, une silhouette harmonieuse.

Tout comme Laetitia, une autre Championne, qui avait un excès de graisse viscérale, Audrey avait pour objectif de perdre du ventre.

En contrôlant sa vitesse de perte de poids, Laetitia a perdu sa graisse viscérale tout en évitant le relâchement cutané
Voilà les résultats que Laetitia a obtenu avec un début de programme similaire à celui d'Audrey

Ça va te paraître paradoxal, mais je lui ai demandé de travailler en priorité son dos pour qu’elle n’ait pas de douleurs liées à son ventre qui partait vers l’avant.

Au final, elle a eu beaucoup plus de travail pour l’arrière de son corps et ce qu’on appelle la chaîne postérieure.

À134 kilos pour 1,64 mètre, faire des abdos aurait été tout bonnement impossible.

Elle devait à tout prix commencer par des exercices adaptés à sa mobilité.

Ce n’est que bien plus tard, et après plusieurs dizaines de kilos en moins que je lui ai demandé de travailler ses abdominaux.

L’effet qu’Audrey a progressivement obtenu, c’est qu’en perdant de la graisse et en augmentant sa masse musculaire, sa peau s’est collée naturellement à ses muscles, plutôt que de se détendre, et c’était justement ce qu’elle voulait obtenir.

Tout ce que j'ai mis en place pour Audrey, je l'explique dans mon guide de la transformation physique pour femmes que tu peux recevoir gratuitement en renseignant ton prénom et ton adresse mail.

Comment éviter le relâchement cutané ?

Contrôler la vitesse de perte de poids

Tu las compris, ce qui cause le relâchement cutané, c’est la perte de poids trop rapide.

Il est donc vital que, lorsque tu cherches à perdre de la graisse, tu contrôles la vitesse à laquelle tu fais fondre ta masse grasse.

Si tu entreprends ce long parcours seule, les chances de réussite pour arriver au corps que tu souhaites et que tu mérites sont très minces.

Tu vas avoir des baisses de motivation, des coups de mou, et affronter ça toute seule va te faire replonger.

Mon rôle c’est de te faire prendre conscience que même si tu ne fais pas les choses parfaitement tout le temps, c’est ok.

Tu ne peux pas tout maitriser tout le temps.

C’est inhumain.

Pour ça, je te propose de te remettre sur les rails pour que tu repartes vers tes objectifs.

Certaines anciennes coachées te diraient “pour mettre un coup de pieds aux fesses bienveillant”.

Je te laisse choisir la formulation qui te convient.

En plus de mes conseils et mon accompagnement, dans ton espace membre, tu peux discuter avec les Championnes qui se sont transformées ou qui sont en cours de transformation.

Elles connaissent bien les galères que tu traverses.

Tu trouveras du soutien et plein de précieux conseils auprès d’elles.

Un grand nombre d’entre elles avait peur d’avoir de la peau qui pend au niveau du ventre, des bras, ou des cuisses, mais comme elles ont fait les choses bien, elles ne gardent aucun relâchement cutané.

Pour revenir à la vitesse de ta perte de poids, la méthode que j’enseigne à mes Championnes pendant leur coaching est basée sur une perte de poids contrôlée.

Elles ont pour objectif de perdre un pourcentage de leur poids total de manière hebdomadaire et non un nombre de kilos ou de grammes précis.

Faire de la musculation

Audrey a bien compris qu'elle doit à la fois maitriser son alimentation et faire du sport pour éviter le relâchement cutané
Audrey est à fond ! Une vraie Championne, autant sur l'alimentation que sur le sport.

Quand on pense au relâchement cutané, on voit en premier lieu la peau du ventre qui se détend, mais on ne pense pas forcément à la peau des bras.

C’est pour ça qu’il est important de muscler tes biceps et tes triceps tout comme l’a fait Audrey.

Dis comme ça, tu peux penser que tu vas te bodybuilder, mais je te confirme que ce n’est pas le cas.

Ta peau va se raffermir, au lieu de se relâcher.

Comme Audrey, tu vas pleinement savourer les changements de ton corps et atteindre tes objectifs, et peut-être même, les dépasser !

“J’avais pas d’objectif principal, je voulais perdre du poids.

Jérémy m'a demandé combien je voulais atteindre, je ne savais pas.

Avec mon passé de gymnaste, j’avais conscience que j’étais plus lourde que certaines de mes coéquipières gymnastes, même si j’avais l’air plus fine.

J’avais déjà cette vision du fait que 2 personnes de 60 kilos peuvent avoir des morphologies complètement différentes.

Je me souvenais qu’à l’époque, je faisais du 42 et j’étais bien dans mon corps.

Je t’ai dit que je voulais re-rentrer dans un 42.

Pour moi ça me parlait.

J’ai même dépassé mon objectif final, le 42, puisque je suis rentrée dans du 40 !”

Quel est le ressenti d’Élodie ? Je te laisse lire ça :

“Je ne passerai pas par la case opération chirurgie, car mon ventre ne pend plus.

Qui l'aurait cru...

Pas moi !

La façon de faire de Jérémy n’est pas un régime

C'est un mode de vie à acquérir et toute ma vie je continuerai comme ça.

J'aime mes séances de sport qui me font un bien fou.

Mais surtout, le plus important, c'est que je mange SEULEMENT des choses que j'aime.

Et croyez-moi, je suis gourmande.

Grâce à la formation en nutrition de Jérémy, je peux manger ce que je veux.

Le chocolat, les petites douceurs sont restés mes amis et c'est ça qui fait que ça devient un mode de vie.”

Consommer suffisamment de protéines

Tu le sais peut-être déjà, mais de manière générale, les femmes ne consomment pas assez de protéines.

Pourtant, les protéines sont une des composantes nécessaires à la croissance de la masse musculaire.

Si tu augmentes ta masse musculaire, ton corps va brûler plus de calories.

Un autre point important qu'il faut que tu comprennes, c'est qu'un kilo de masse musculaire brulera toujours plus de calories qu'un kilo de masse grasse.

Avoir un corps de femme sportive, qui fait de la musculation (chez elle ou en salle) te sera bénéfique sur le long terme.

Les muscles vont progressivement remplacer la graisse, et donc combler le vide entre ta peau et tes organes, ce qui d'ordinaire créé du relâchement cutané.

Je suis conscient que si je te dis qu'il faut que tu augmentes ton apport en protéines, c'est un peu la panique et ça se bouscule dans ta tête.

S'il y a une association issue du patriarcat que j'aimerai que tu effaces de ta mémoire c'est : protéines = viande rouge = truc de mec.

Oui, il y a des protéines dans la viande rouge, mais pas que.

On en trouve dans les oeufs, la viande blanche, le poisson, les légumineuses, etc.

Pour mes coachées, et parce qu'elles font de la musculation, je préconise 1,8 gr de protéines par jour et par kilo de poids de corps.

C'est un idéal vers lequel elles doivent, si possible, tendre, mais je suis conscient que ça ne peut pas être parfait tous les jours, et c'est ok.

Mon rôle de coach nutritionnel et sportif c'est de faire en sorte que mes coachées se transforment physiquement de manière progressive.

Un de mes mantras est "1% meilleur chaque jour", à la fin de l'année ça fait 365% meilleur que l'année dernière. c'est quoi

Pour en revenir à Élodie et Audrey, les deux Championnes de notre article, le secret qui leur a permis de perdre 30 kilos et 60 kilos tout en évitant le relâchement cutané, c’est que d’une part, elles ont eu une perte de poids maîtrisée et régulière : elles ont perdu environ 1% de leur poids total chaque semaine.

D’autre part, elles ont progressivement pris goût à la musculation, ce qui a permis à leur peau d’adhérer à la masse musculaire de manière naturelle.

C’est notamment ce qui s’est produit avec Élodie.

Je t’explique ça avec cette image :

Aujourd'hui est fière du combat qu'elle a mené et d'avoir réussi à rattraper une grande partie de son relâchement cutané
Sur ces photos "avant après", Élodie a déjà perdu 30 kilos et elle a en partie rattrapé sa peau qui pendait au niveau du ventre.

Dans l’encadré orange, tu vois que, à gauche, Élodie commençait a avoir un peu de relâchement cutané au niveau du bas du ventre.

Toujours dans l’encadré, mais à droite, tu peux voir qu’il n’y a plus de peau qui pend.

Ce n’est pas de la magie : c’est juste qu’elle a suivi le programme sur mesure que je lui ai créé, et qu’elle s’est bien hydratée pour aider sa peau.

Les 3 piliers pour éviter le relâchement cutané, même avec une perte de poids extrême :

Aujourd’hui, Audrey et Élodie se sont transformées.

Elles ont repris goût au sport, elles ont appris à manger.

Si à aucun moment durant leur perte de poids extrême, elles n’ont souffert de relâchement cutané, c’est grâce au fait qu’elles ont :

  • Maitrisé la vitesse de leur perte de poids : avec mon accompagnement elles ont appris à manger. Elles connaissent la valeur calorique des aliments qu’elles consomment. Elles ont été régulières avec une perte de poids hebdomadaire entre 1 et 1,5% de leur poids total ;
  • Repris goût au sport et elles ont découvert la musculation : elles se sont d’abord entrainées chez elles pour ne pas subir le regard des autres. Elles ont démarré avec des exercices simples, puis, après plusieurs mois, quand elles se sont senties prêtes, elles sont allées en salle de sport ;
  • Augmenté la part de protéines dans leur assiette : elles ont bien compris que c'était primordial pour leurs séances d'entrainements et pour gagner petit à petit en masse musculaire.

Si, comme Audrey et Élodie, tu es prête à te transformer et devenir une meilleure version de toi-même, réserve un appel découverte avec moi.

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Jérémy Loreau, coach sportif et nutritionnel pour femme

Coach sportif en ligne pour femme Jérémy Loreau

J'aide quotidiennement des femmes de plus de 40 ans à devenir la meilleure version d’elles-mêmes.

Je publie également du contenu basé sur les apports de la science et mes expérimentations, dans le but de t'aider à atteindre ton objectif de transformation physique.

Perdre de la graisse et prendre de la masse musculaire, sans faire de régime.

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